Kyoto et les nouveaux marchés de l'énergie: l'ourobouros français
Il manque quelques millions d'€ pour continuer les recherches et mettre en place un premier parc. Alors que l'argent pour financer des trucs bizarres (je n'ai pas dit démagogique) ne manque jamais - cela dépend sans doute de qui "l'assume pleinement"; ceux pour une avancée réelle et importante se retrouvent toujours relègués aux calendes grecques.
Faudrait-il une bourse Bretonne ?
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Par yves le mestric, lundi 30 octobre 2006 à 14:05 | Marchés et économie | #77 | rss
Alors que la france annonce la création de pole de compétitivité, l'investissement se fait dans des projets étrangers. La réflexion tant sur le protocle de Kyoto que sur celui de l'agenda de Lisbonne, relève en france, que de l'activité multi-séculaire de l'intellectuel: la métadone des politiciens.
La société Hydrohelix développe un projet d'hydrolienne depuis plusieurs années. Le pole de compétitivité breton sur la mer est arrivés à point pour continuer le financement des recherches dans ce secteur. D'autant que la Bretagne est un lieu de fort courant marins, très régulier. Ce plus, le fait qu'elle ne produit que 5% de son électricité, rend ce prjet très (mais vraiment très) intéressant. Las! les financements des sociétes françaises, y compris nationale vont à des projets réalisé au Royaume Unis. Tous les détails sur ABP.Il manque quelques millions d'€ pour continuer les recherches et mettre en place un premier parc. Alors que l'argent pour financer des trucs bizarres (je n'ai pas dit démagogique) ne manque jamais - cela dépend sans doute de qui "l'assume pleinement"; ceux pour une avancée réelle et importante se retrouvent toujours relègués aux calendes grecques.
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